La figure de Vénus prend une place prépondérante dans mon travail. C’est la Nourrice, après la mère, après la louve. Elle devient une idole. On lui voue un culte. On fabrique des objets de transition pour l’atteindre. On invente des rituels.
C’est la création nécessaire à notre finitude , notre fragilité , notre solitude. Elle est immuable, puissante et nous ramènent aux temps ancestraux où n’existent que de « vraies valeurs », de l’innocence et du désintéressement. En somme, le Paradis…
A l’ombre de sa grandeur, c’est un havre de paix.